Voici le premier rapport de bataille (la deuxième partie opposant mes gobs à l'ost Bretonnien)
Le seigneur Guilhem de Lestade, ayant appris qu'un horde de vils gobelins (pléonasme je sais) de la nuit étaient descendus des montagnes et avait déja commencé à piller quelques villages de sa seigneurie décida de réunir ses preux chevaliers pour renvoyer les peaux vertes rejoindre Gork (à moins que ce ne soit Mork), peu importait leur nombre, la Dame les guiderient pour défaire les hordes gobelines.
De son coté, le chef de guerre Gitsnik savait que ses méfaits ne resteraient pas impunis très longtemps, et comme tout gobelin qui se respecte il décida de battre en retraite rapidement quand il appris que des chevaliers faisaient route vers leur position. Mais poussé par son chaman qui aurait vu la victoire gobeline (après avoir gouté quelques champignons) Gitsnik choisi ses plus
braves nombreux guerriers pour stopper les chevaliers tandis que le reste de sa horde continuait ses pillages.
La bataille allait ce déroulé dans la plaine au soleil couchant, le ciel prenant la couleur du sang.
Tandis que les bretonniens formaient leurs fer de lance, les gobelins en profitairent pour preparer leur baliste et droguer leurs fanatiques
Mon chaman a obtenu les sorts poignard perfide et urticaire ultime.
[img]
[/img]
Voici le déploiement.
[img]
[/img]
Les fers de lance bretonniens avec dans celui de droite le général et la grande bannière.
[img]
[/img]
Mes hordes de gobelins avec a gauche le chaman et a droite la grande bannière et général.
1er tourLes fiers bretonniens prirent le temps de prier la Dame permettant ainsi à Gitsnik de prendre l'initiative de cette bataille. Il tenta de retenir ses troupes mais seul son propre régiment obéit à ses ordres, mais il vit rapidement ses cousins orques partir à l'assaut s'élancant sur leurs farouches sangliers, et entrainés par cet élan de fougue un régiment entier de gobelins ce pris à lancer son cri de guerre et à monter à l'assaut couverts par les injures que leurs lancait le seigneur de guerre. De même, dans cet élan de rage, les gobelins manipulant la baliste décidèrent de tirer sur les chevaliers situés en face d'eux, leur tir s'enfanca dans l'écu du porteur de grande bannière adverse mais qui s'en sortit indemne.
Bref, mes sangliers et une unité de gobelin ont raté leurs test d'animosité et ont dus chargé un fer de lance. Et ma baliste à fait un 1 pour blesser la grande bannière.
[img]
[/img]
fin de mon tour
Voyant les peaux vertes avancer vers ses lignes, Guilhem ordonna à ses hommes de lancer l'assaut avant de baisser la visière de son heaume et de s'élancer vers la baliste ayant failli estropier son frère d'arme. La course des chevaux résonna alors dans la vallée dans la vallée accompagnée des cris de guerres des innombrables peaux vertes.
[img]
[/img]
fin du tour 1
tour 2Prenant conscience du danger que représentant une charge de cavaliers lourds, les gobelins entreprirent de reformer leurs rangs et d'essayer de contrer les charges des chevaliers. Pendant ce temps le chaman essaya de maudir les chevaliers approchant mais par mégarde s'étouffa avec un champignon empoisonné le rendant inutile jusqu'a ce qu'il reprenne ses esprits. Les servants de la balistes voyant leurs adversaires s'avancer rapidement d'eux prirent peur et firent de nouveau feu sans même prendre le temps d'ajuster leur tir qui alla abattre un jeune sanglier qui fuyait la charge Bretonnienne.
[img]
[/img]
fin de mon deuxieme tour.
Voyant la discorde ce former des rangs gobelins, le seigneur choisi de détruire définitivement sa cible en chargeant la baliste, il massacra impitoyablement les machinistes gobelins qui déclarèrent: "il son trop nombreu' pour nou' montez leur' ce ke son lé vrai gobz "
C'est alors que la seconde formation Bretonnien s'arrêta net quand une nuée de gobelins enchainés à des boulets furent projetés vers eux, mais le champion du royaume connaissait déja bien les gobelins et s'attendais déja à cela et put faire esquiver à son fer de lance la majorité des fanatiques.
[img]
[/img]
[img]
[/img]
la sortie des fanatiques (j'ai vraiment pas eu de chance pour la distance parcourue par mes fanatiques)
[img]
[/img]
la charge de la baliste
[img]
[/img]
fin du tour 2
Tour 3Les fanatiques décidèrent de s'entretuer plutot que demassacrer les chevaliers qu'ils entouraient laissant le champ libre aux bretonniens pour charger, les gobelins voyant alors leur flan totalement à découvert changèrent de position pour pouvoir recevoir la charge adverse tandis que Gitsnik préparait les siens pour effectuer une contre charge contre les chevaliers qui allaient sans doute charger ses camarades. Tandis que les orques tentèrent de malmener le flan des chevaliers, hélas leurs sangliers préférèrent rester sur place pour manger quelques truffes qu'ils avaient repérés. Le chaman ayant compris qu'il allait servir d'appat décida invoquer des esprits malsains pour rendre plus tranchantes les armes de ses alliés, hélas il pris encore une fois un mauvais champignon, mais cette fois si bon qu'il décida d'en prendre encore un plutot que de lancer son invocation en finissant son sinistre rituel.
Comme Gitsnik l'avait prévu, Guilhem charga avec la totalité de ses troupes pour détruire le chaman et les gobelins l'environnant. Hélas dans leur charge, les preux guerriers écrasèrent un fanatique faisant tomber quelques braves. Mais les gobelins avaient encore quelques cordes à leur arcs et lancèrent des filets qui projetés avec la force du désespoir et la rage de vaincre retombèrent sur les pauvres gobelins. Le choc fut terrible, grand nombre de gobelins mourrurent dans cette sanglante confrontation. Malgré tout les gobelins nombreux et fort doués en statistiques comprirent qu'il y avait encore une grande chance que leurs camarades meurent avant eux ce qui les motiva pour rester au combat malgré les gerbes de sangs surgissant des corps de leurs ex-coéquipiés.
[img]
[/img]
fin du tour 3
Tours 4 et 5Gitsnik hurla son fameux cri de guerre en chargeant avec ses troupes les Bretonniens, les orques genés par les mouvements de troupes gobelins ne purent se jeter dans la mélée tournant autour du gigantesque tourbillon de sang qui ce dessinait. Le combat semblait bien entammé pour les gobelins quand le Sir Guilhem et son régiment réussi à faire fuir sa cible initiale avec ses braves n'ayant à déplorer comme perte que leur vaillant champion tombé suite aux nombreux acharnés coups des gobelins, il rattrapa celle_ci et fit ensuite demi tour pour pouvoir ballayer Gitsnik et ses camarades lors du nouvelle charge.
[img]
[/img]
la charge de Gitsnik et ses gobz
[img]
[/img]
vive les sangliers!!!
[img]
[/img]
fuite des gobs et mouvement des sangliers, retour des bretonniens qui étaient sortis de la table suite à leur poursuite des gobelins.
Tour 6De retour face à la mélée, le seigneur Guilhem et ses hommes virent les gobelins massacrer les quelques braves qui les retenait encore. Gitsnik ordonna a ses gobelins de ce preparer à recevoir la charge. Les deux généraux se faisaient face, les sangliers grattaient le sol prêts à s'élancer, le choc s'annoncait très rude.
Le soleil finissait à peine de ce coucher quand les bretonniens percutèrent les rangs des gobelins de nombreux morts furent à deplorer dans les deux camps un massacre sans précedant avait lieu.
[img]
[/img]
la charge héroïque
[img]
[/img]
le choc final
La nuit étant tombée, les orcs ne virent même pas les hommes traverser les rangs des gobelins (eux même n'en revinrent pas), pour éviter la perte de plus de braves les bretonniens rentrèrent de nuit à leur castel tandis que Gitsnik partit regrouper ses troupes qui continuait les pillages. Cette bataille ne pouvait finir ainsi, il fallait en découdre aucun camp n'avait put l'emporter, mais cette querelle ne pouvait ce conclure cette nuit.
Plus tard aurais lieu la vengeance de Gitsnik, ce seigneur allait payer pour avoir oser lui avoir tenu tête.
Cette bataille c'est conclue par une égalité avec un léger avantage pour les bretonniens (47 pts d'hanniliation de plus que moi). Mais il a fait l'unanimité du fait que mon sorcier, ma baliste et mes fanatiques ont vraiment tout raté et que sans cela ma victoire aurait été incontestable. Hélas la chance n'a pas été de mon coté et je n'ai pus décroché que l'égalité.