Waaaaaaaaaaaaaaaaagh!
Tel un binôme de fifou ayant décidé de prêcher en terre païenne, nous avons décidé de remettre le couvert avec Ptidop cet après-midi.
Après ma première partie, j'avais décidé de commencer à retravailler ma liste et à y inclure de nouvelles petites surprises gobelines.
Mon armée se composait donc (de gauche à droite, ou plutôt bas en haut) de :
1 régiment de chevaucheurs de sacs à puces (10).
1 régiment de chevaucheurs de sacs à puces (10).
1 géant.
1 chamane gobelin.
1 régiment de chevaucheurs de sacs à puces (10).
1 régiment de chevaucheurs de sacs à puces (10).
Tout ce beau monde écrantant deux légions de racailles, armés à la va-vite mais étant fort nombreux (2*60).
L'ensemble étant supporté par :
- 2 hachoirs (l'équivalent en mieux de chars snots).
- 2 trombones de guerre (2*12 attaques de souffle).
- 1 lance grosses pierres.
Le but cette fois ci était (pour moi) de vérifier le comportement de grosses unités d'infanterie sur le champs de bataille.
Je laisse la parole à mon noble adversaire (ki sen bizarre), le haut-elfe afin qu'il nous explique son déploiement ainsi que ses premiers mouvements.
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Ni rwa ! Ni rinne ! Ni djeus ! Ni maets !
Marre de s'faire avwar !