Concours de la future Hymne Gueularde - les oeuvres

Faites nous profiter de votre chanson dans ce topic !

Attention :
Ici seront uniquement déposé vos œuvres ou les lien amenant à une chanson. Tout ce qui ne rentrera pas dans la catégorie citée plus haut sera effacé sans préavis. Merci de votre compréhension.

Si vous voulez parler des œuvres, c'est ici

Sur l'air de "Capitaine abandonné - Gold".

Ouh, Ouh, Ouh
Ils sont partis pour manger
Ouh, ouh, ouh
Mais ils ne sont jamais rentrés
Les Mangeurs d'Hommes de la Vallée
Les yétis des montagnes gelées
Ont brisé leurs armes en acier
Oùùùùùùùù ils sont tombés

Ouh, ouh, ouh
Vers quelles fosses à viandes secrètes
Ouh, ouh, ouh
Les géants les ont portés
Ils ont retrouvé la lumière
Ou
Un beau gosier

Ohé, Ohé, les geulards abandonnéééés
Ohé, ohé, revenez vers nos valléééés
Beuglez, beuglez, pour savoir où vous étiez
Beuglez, beuglez, pour qu'on puisse vous aider


Ouh, ouh, ouh,
Nous allons bientôt arriver
Ouh, ouh, ouh
Et vos geoliers vont être mangés
Mais s'ils vous emmènent dans leurs antres
Pour qu'ils remplissent bien leurs ventres
Gardez bien la Gueule dans vos têtes
Ou
Dans le gosier

Ohé, Ohé, les geulards abandonnéééés
Ohé, ohé, revenez vers nos valléééés
Beuglez, beuglez, pour savoir où vous étiez
Beuglez, beuglez, pour qu'on puisse vous aider
Ohé, Ohé, les geulards abandonnéééés
Ohé, ohé, revenez vers nos valléééés
Beuglez, beuglez, pour savoir où vous étiez
Beuglez, beuglez, pour qu'on puisse vous aider

(L'originale est ICI pour ceux qui ont la mémoire qui flanche )

Voila, ça, c'est fait

Fais à partir de "chanson à boire" de try ann, un pti air facile à retenir



Si t'veu un peu te défouler
cherche donc une bonne baston
pour ça faut bien maîtriser
tes lames mais aussi ton front

Quoi qu'tu fasses nous geulerons
Cogne, cogne, cogne, cogne compagnon
Bois vite c'te gniole au chaudron
Crache le feu que nous geulions
Mange, mange, mange, mange compagnon
Bois vite c'te gniole au chaudron

Surtout discute pas les ordres
car c'est bien lui le grand patron
et qu'sinon il va te mordre
n'oublie pas t'es encore un avorton

Quoi qu'tu fasses nous geulerons
Cogne, cogne, cogne, cogne compagnon
Bois vite c'te gniole au chaudron
Crache le feu que nous geulions
et qu'sinon il va te mordre
Bois vite c'te gniole au chaudron

Elfes, zoms, lézards, bêtes et nains
Cachez vous bien car nous vous cherchons
Nous sommes sur le grand chemin
on vous tombera d'sus et nous vous boufferons

Quoi qu'tu fasses nous geulerons
Cogne, cogne, cogne, cogne compagnon
Bois vite c'te gniole au chaudron
Crache le feu que nous geulions
et qu'sinon il va te mordre
Bois vite c'te gniole au chaudron

A tous ceux qui sont pas verts ou gros
courez très vit et très loin de nos ceinturons
si vous les voyez, dans notre panse vous s'rez bientôt
vous tuer et croquer nous adorons

Quoi qu'tu fasses nous geulerons
Cogne, cogne, cogne, cogne compagnon
Bois vite c'te gniole au chaudron
Crache le feu que nous geulions
et qu'sinon il va te mordre
Bois vite c'te gniole au chaudron



Par contre pour la version musicale, je l'ai en cd mais sur le net je sais pas trop où chercher, désolé.

Pour la chanson de Marius, c'est par là!

Guak'hamol

Merci, je savais pas où trouver ça.
J'avais essayé youtube, enfin bon, merci du coup de main.

Au fait, pour éviter le flood et de vous faire effacer, vous pouvez discuter de vos oeuvres ici. Bon, je ne mords pas si c'est comme pour Guakamol et Marius un service rendu. Mais toute critique sera effacée sans préavis, j'ai oublié de le préciser.

Chose promise, chose faites :

Chanson : "Comme à la guerre" LOFOFORA

Je vous invite à faire la recherche de la chanson sur ce site pour pouvoir l'écouter en lisant mes paroles.
http://www.deezer.com/

Comme à la guerre a écrit:

Lorsqu'au royaume de la gueule, le tyran fait la loi,
L’envie de la saveur la valeur du repas.
Quel gob sera le plus fou et lequel fuira pas,
Lequel est une tapette et lequel lui met des coups ?

Ca ressemble à un jeu, mais des règles, y'en a pas,
Tant que ça les amuse, la partie continuera,
Les coups d’boules sont permis, les complots, les en-cas
Les victimes nourriront la tribu de leur foie.

Retour chez les gnoblars pour en voir deux mille plein de haine,
Deux mille plans de vengeance pour leurs guerres prochaines,
Des millions de peaux vertes, pour en faire de même,
Combien de festin pour enterrer le problème ?

A la guerre comme à la guerre, entends l’appel de la gueule,
Quand la tribu part en guerre, si le festin en est le nerf, prie pour qu’on bouffe pas tes terres.

A la guerre comme à la guerre, entends gueuler la grande waaagh,
La furie des gobs téméraires, si la baston en est le nerf, prie pour qu’on brule pas tes terres.

Respectables cogneurs généraux et chefs peaux vertes,
Se livrent à la barbarie, génocide des rivals,
Se régalent de ses ennemis et de viandes à soldats,
Exaltés par le conflit choisissent les armes de poids.

Pour attiser les gnoblars fascinée par l'exploit
Du valeureux guerrier, chasseur et crocs de sabre,
Toutes les victimes se meurent, c'est le concour de poids,
Seul Gork en personne sait comment ça finira.

Mais quels sont ces gobs-missiles qui hurlent au dessus de nos têtes ?

D'où viennent ces désirs de manger, de conquête ?

Le tyran tire les bénéfices pour faire régner sa terreur.

La mort remerciera nos tribu de plein cœur.

A la guerre comme à la guerre, entends l’appel de la gueule,
Quand la tribu part en guerre, si le festin en est le nerf, prie pour qu’on bouffe pas tes terres.

A la guerre comme à la guerre, entends gueuler la grande waaagh,
La furie des gobs téméraires, si la baston en est le nerf, prie pour qu’on brule pas tes terres.

Sortez les armes, ayez la hargne, dévorons leur âmes

Retour chez les gnoblars pour en voir deux mille plein de haine,
Deux mille plans de vengeance pour leurs guerres prochaines,
Des millions de peaux vertes, pour en faire de même,
Combien de festin pour enterrer le problème ?

A la guerre comme à la guerre, entends l’appel de la gueule,
Quand la tribu part en guerre, si le festin en est le nerf, prie pour qu’on bouffe pas tes terres.

A la guerre comme à la guerre, entends gueuler la grande waaagh,
La furie des gobs téméraires, si la baston en est le nerf, prie pour qu’on brule pas tes terres.

Je me lance, soyez indulgents
C'est plutôt un hymne à la "gloire" des gobelins de la nuit

Sur l'air de "la tribu de Dana"

Le vent glacial s'engouffrait à l'intérieur de la caverne,
Le grand chamane était en train de boire une verveine.
Wysiwyg le guetteur est venu nous chercher,
Les nains avaient encore décidé de nous massacrer.
Là où tous nos anciens, de piteux guerriers gobelins,
Après de grandes défaites, se sont enfuis comme des lapins.
C'est l'heure maintenant de prendre notre revanche
Contre cette armée de nains prête à pourrir notre dimanche.
Toute la tribu s'est réunie autour du chef de guerre
Pour invoquer Gork et Mork et même leurs pères.
Après cette prière avec mes frères, les yeux plein de haine,
Les chamans nous ont donné à tous des champis hallucinogènes,
Pour le courage, pour pas qu'il y ait de rescapés,
Pour rester petits et peureux quand nous nous ferons massacrer.
Car c'est dès le lendemain que je pars me battre contre les nains
Et j'espère être digne de la tribu des gobelins.

Dans la caverne (oh oh) des gobelins (la li la la)
Dans la caverne (oh oh), j'ai pu regarder le mago.
Dans la caverne (oh oh) des gobelins (la li la la)
Dans la caverne (oh oh), se faire sauter la tête à cause d'un fiasco.

Après quelques incantations de chamans et de magie,
Toute la tribu, la peur au ventre, voyait se rapprocher notre ennemi.
La lutte était terrible et je ne voyais que des morts,
Les nains nous exterminaient encore et encore.
Les guerriers les plus faibles s'enfuyaient comme des lapins,
Sous le coup des armes que possédaient tous ces sales nains,
Des arbalètes, des haches et des épées dans la caverne des gobelins
Qui se firent trucider jusqu'au petit matin.
Comme ces jours de peine, où le fanatique se traîne
Empêtré dans ses boulets et dans ses chaînes.
Fallait-il continuer ce combat inégal?
Mais tels étaient les ordres de notre général.
La lutte a continué comme ça jusqu'au petit matin,
Les gobelins résistant tant bien que mal face à tous ces nains,
Fallait défendre notre caverne car dehors il faisait froid,
Et aucun d'entre nous n'avait de duvet en plumes d'oie.

Dans la caverne (oh oh) des gobelins (la li la la)
Dans la caverne (oh oh), j'ai pu regarder le mago.
Dans la caverne (oh oh) des gobelins (la li la la)
Dans la caverne (oh oh), se faire sauter la tête à cause d'un fiasco.

Après une longue lutte se replièrent les nains
Du chef ennemi qui rigolait bien.
Avait-il compris qu'on lui avait dit des balivernes
Et que la tribu des gobelins n'avaient pas de taverne?
Les guerriers repartaient, j'étais complètement hagard
Tout le chemin qu'ils avaient fait pour se saoûler dans un bar.
Quand je sortis enfin de ma cachette,
J'étais le seul debout de ma tribu, voilà pourquoi
J'ai laissé éclater ma joie,
Que ne pouvait gâcher aucun rabat joie.
Je n'ai jamais compris pourquoi Gork et Mork m'ont épargné
De ce jour béni de notre histoire que j'ai contée.
Le vent glacial souffle toujours dans notre caverne
Et désormais c'est moi le capitaine.
J'ai appris à me méfier des nains,
Je suis devenu le chef de la tribu des gobelins.

Dans la caverne (oh oh) des gobelins (la li la la)
Dans la caverne (oh oh), j'ai pu regarder le mago.
Dans la caverne (oh oh) des gobelins (la li la la)
Dans la caverne (oh oh), se faire sauter la tête à cause d'un fiasco.

sur l'air de "tiens t'aura du boudin" chanson de la légion étrangère
"tiens voilà des bourrins
voilà des bourrins
voilà des bourrins
pour les orcs les ogres et puis pour les gobelins
pour les zoms y'en a plus
pour les zoms y'en a plus
ce sont de sacrés faux culs
pour les zoms y'en a plus
pour les zoms y'en a plus
ce sont de sacrés faux culs
bon je peux vous le jouer à l'harmonica mais du coup je ne peux plus chanter (c'est pas faux)

Chose promise chose due :

La mauvaise réputation - Georges Brassens

Version originale : Radioblog
Version reprise par Sinsémilia : Radioblog

Version Gueularde :

Dans l’Empire, sans prétention,
J'ai mauvaise réputation.
Que j’ai la dalle ou qu'je reste coi
Je pass' pour un je-ne-sais-quoi !
Je bouffe juste quelques personnes
En suivant mon chemin de gros bonhomme.
Mais les brav's humains n'aiment pas que
L'on les mange en commençant par les yeux,
Même les brav's elfes n'aiment pas que
L'on les grignote car ils sont miteux,
Tout le monde médit de moi,
J’leur coupe la langue, ça va de soi.

Le jour de la fête de Sigmar
Je sort dehors pour bouffer un connard.
Ses entrailles qui trainent par terre,
Je n’en ai rien à faire.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En ne mangeant qu’une seule personne.
Mais les brav's humains n'aiment pas que
L'on les mange en commençant par les yeux,
Même les brav's elfes n'aiment pas que
L'on les grignote car ils sont miteux,
Tout le monde me montre du doigt
J’leur croque au passage, ça va de soi.

Quand j'croise un nain malchanceux,
Poursuivi par un elfe hargneux;
J'lance ma massue et pourquoi le taire,
Le’elfe hargneux s'retrouv' par terre
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En m’enfilant un elfe qui déconne.
Mais les brav's humains n'aiment pas que
L'on les mange en commençant par les yeux,
Même les brav's elfes n'aiment pas que
L'on les grignote car ils sont miteux,
Tout le monde se rue sur moi,
Mais j’les déboite, ça va de soi.

Pas besoin d'avoir de la verve,
Pour d'viner l'sort que j’leur réserve,
Si j’les trouve pas à mongoût,
J’les ferais cuir avec des choux,
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En m’empifrant avec des ptits z’hommes,
Mais les brav's humains n'aiment pas que
L'on les mange en commençant par les yeux,
Même les brav's elfes n'aiment pas que
L'on les grignote car ils sont miteux,
Tous les Gueulards viendront au festin,
Enfin tout le monde … sauf les humains !

Voila ma contribution ! Bon, c'est n'importe quoi, je viens de faire çae trois minutes mais c'est juste histoire de participer

Sur l'air des bobos :

Les Gobbos

On les appelle gobelins communs
Ou bien gobbos pour les intimes
Dans les toilettes d'l'archityran
On les retrouve à chaque fois
Ils sont une tout autre classe
Après les orques et les snotlings
Pas loin des gnob', quoique plus classe
Je vais vous en dresser un tableau
Sont un peu marant c'est déjà ça
Mais leur passion c'est de prendre la fuite
Dans les cavernes ou la pampa
Sont fiers d'être les amis du roi !

Les gobbos, les gobbos
Les gobbos, les gobbos

Ils vivent dans les petites huttes
Ou dans la savane mais dans un trou
Fiers roturier sur le plancher,
Bien plus tendance que le parquet
Ont des bébés comme eux tout verts,
Qui ont lu le Petit Gob à 3 ans
Qui vont dans des bidonvilles privés
Privés d'Orki, je me comprends

Ils fument la pipe de temps en temps,
Et ils cours dans les crottes de chat
Roulent en char, mais l'plus souvent,
Préfèrent s'déplacer sur les squigs

Les gobbos, les gobbos
Les gobbos, les gobbos

Ils font que faire chier les orques,
Les Ogres et les Yétis,
Leur idole c'est Skarsnik et Gobbla
Près du col du crane.
Ils aiment les balistes et plongeurs de la mort
passent leurs temps a guerroyer
Le col du feu noir, franchement ça craint
Ils coupent surtout les barbes naines
les bannières, c'est pour les bouseux
Sauf pour décorer la hutte du chef
Et d'temps pour faire le beaux

Les gobbos, les gobbos
Les gobbos, les gobbos

Aller, à mon tours.
On tape dans le très vieux quand même: Claude barzitti - Le rital

Citation :

A la guerre quand j'étais petit
J'avais déjà beaucoups d'amis
Jamais voulu devenir humain
Encore moins elfes, surtout pas nains
Je revais d'les écraser d'un bond
J'en pleurais tellement c'est bon

C'est vrai je suis le mal aimé
C'est fou, j'en est rien à cirer
Que tu sois orque vraiment idiots
Tu nous rejoind pour un monde plus beau
Ou même ogre tout pas beau
Deviens gueulard dans la peau

Je suis gueulard et je le reste
Et dans la guerre et dans la bouffe
Nos banquets sont des merveilles
Je suis gueulard dans mes colères
Dans mes victoires et mes prières
J'ai la mémoires de nos espèces
Je suis gueulard et je le reste

J'aime les gobelins de la nuit
Faut dire qu'ils sont vraiment mimi
Aussi leurs cousins les gnoblards
Eux sont vraiment trop fendard
Et ca sans parler de leurs envies
D'etre de vrai gueulard eux aussi

Mes yeux sont collés par le sang
De nos ennemies et de nos amis
Tout cela je ne pourrais faire sans
C'est comme ca que j'aime la vrai vie
Sans les raccourci sans détour
Ces actions j'en veux tout les jours

Je suis gueulard et je le reste
Et dans la guerre et dans la bouffe
Nos banquets sont des merveilles
Je suis gueulard dans mes colères
Dans mes victoires et mes prières
J'ai la mémoires de nos espèces
Je suis gueulard et je le reste

C'est vrai je suis un étranger
On me l'a assez répété
Mais je suis jamais seul
Que ce soit la waagh ou la gueule
Ici c'est vraiment le panard
Faut venir avec les gueulards.

J'envoie le lien sous peu.