Gorog Fracasse-Murs

Eh bien voila, l<histoire de mon tyran, je suis nul en orthographe mais vous pouvez toujours me faire remarquer mes fautes pour que je l<ai corrige.

« Tu s’ras jamais capable! » Hurla Gortag à l’ogre en face de lui qui s’apprêtait à foncer tête baisser dans une muraille d’obsidienne la proportion gigantesque. Ce n’était là qu’un des gigantesques murs des Châteaux des cieux.
« Ferme ta grande gueule de mammouth crasseux si tu ne veux pas que je te l’arrache et que je la mange marinés dans tes sales petits doigts de freluquets » répliqua Gorog avec eau à la bouche. Tant pis, ce Gortag allait être ingéré sans procès s’il réussissait son épreuve, vraiment il ne fallait pas lui faire penser à de la nourriture maintenant. Cette épreuve consistait à passer au travers des murailles des anciens châteaux des géants en utilisant que la tête et le ventre. Ce dernier est à la base même de la culture ogre et ceux en possédant un plus gros que ses congénères sont considérés comme étant des ogres riches et importants et dans nombre d’épreuves, les ogres doivent utiliser leur ventre et leur poids comme arme ou comme outil. En matière de corps ventripotent, Gorog n’avait rien à envier aux autres ogres et cela allait lui être d’une grande aide lors de l’épreuve qui lui vaudra le grand nom de Fracasse-Murs et l’accès au statu de Cogneur. Il attendit quelque seconde pour vérifier si Gortag se tenait bien, ôta son casque qu’il avait fabriqué à partir de plusieurs casques nains fondus, et finalement fonça en hurlant dans la muraille noir ébène. Le premier contact fut un choc pour le jeune ogre mais Gorog, un peu sonné, n’attendit pas deux secondes pour revenir à la charge. Celle-ci fut aussi inefficace que la première. Gorog grogna. Bien, qu’il s’attendait à que cela soit une tâche longue, l’humanoïde de plus de trois mètre et demi s’était surestimé. Il attendit Gortag rire. C’en était trop! Il allait montrer à ce Gortag qu’il avait bien la force et la ténacité de Bruto Ventretonerre:
« WOUAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!! » cria Gorog alors qu’il couru de toute sa vitesse et percuta avec violence le mur avec toute la force de son poids. Cette fois-ci, l’effort n’avait pas été vain, une fissure était apparue où l’ogre avait foncé laissant entrevoir les motifs peu sophistiqué de sa plaque ventrale.
« Hey Gortag, on dirais que tu fais moins le malin sale freluquet! dit Gorog d’un tons victorieux.
-T’es pas encore passé au travers des murs des Tous-Grands-à-la-Tête-Vide, alors boucle-la et continu, j’ai encore envie de rire. »
Gorog murmura dans sa moustache tombante des mots incompréhensible et se prépara à charger de nouveau.
« Tu riras bien moins quand ch’rai Cogneur et que j’te cognerai et que tu m’diras d’arrêter de te cogner, dit Gorog d’un air de défi.
-On pourra pas voir sa parce que tu s’ras jamais capable de défoncer le mur » dit Gortag moqueur.
Décidément il était agaçant aujourd’hui Gortag. Mais Gorog allait lui montrer qu’il était un vrai Buffle, il allait montrer à toute sa tribu qu’il était digne de devenir un Cogneur des Casses-Murailles, il allait montrer à tout le monde qu’il mériterait de se nommé Gorog Fracasse-Murs.

Cela faisait maintenant quatre heures que Gorog tentait de se frayer un chemin au travers des épaisses murailles. Les dommages occasionnés aux murs faisaient pâles figures en comparaison de ceux infligés à Gorog, l’ogre était ensanglanté, son crâne était parcouru de bosses et de creux irréguliers, du sang lui sortait de la bouche, des oreilles et du nez. La Gueule tatouée sur l’omoplate droite de Gorog semblait se nourrir de ses blessures et de sa souffrance. Il était serte étourdie mais son ardeur n’en était pas moins réduite. Gorog était un ogre et comme tout ogre il avait un crâne très épais, la peau plus résistante qu’une armure de cuir bouilli et un tempérament de rhinox sauvage. Il revint à la charge ventre premier puis tête première mais le mur ne cédait pas et laissait l’ogre plus amoché que jamais. Gorog fut tout à coup surpris, il n’avait pas entendu Gortag se moquer de lui depuis une bonne demi-heure. Il se retourna et constata que Gortag avait disparu, encore. En effet, depuis que Gorog connaissait Gortag, celui-ci disparaissait toujours quand Gorog avait le dos tourné sans laisser de trace. Il ne se souvenait pas où et quand il l’avait rencontré mais cela ne lui importait pas. L’ogre redirigea son regard vers la muraille qu’il tentait depuis maintenant une demi-douzaine d’heures de traverser. Le mur était dans un piètre état. Où Gorog avait pioché avec sa tête et son ventre, la muraille ne faisait plus que quelques décimètres d’épaisseur. Tout semblait aller bien, bientôt le gros humanoïde aurait passé à travers des défenses d’une des anciennes forteresses des titans célestes et les jeunes ogres qui le surveillaient iraient raconter son exploit au tyran Boltag Casse-Murailles lui-même et il se ferait gratifier du titre de Fracasse-Murs et deviendrait un Cogneur. Cependant, quelque chose clochait. Il n’arrivait plus à respirer! Ce que Gorog ne savait pas encore, c’est que son sang coulait à présent si intensément que cela couchait ses vois respiratoires. À cause d’une hémorragie interne, il se noyait dans son propre sang! Ne sachant quoi faire, Gorog couru à l’aveuglette et percuta le mur de plein fouet se qui le fit tomber lourdement. L’ogre ensanglanté se mit à quatre pattes avec peine pour crasher le sang qu’il avait dans ses tuyaux buccaux. Il resta dans cette position de chien battu pendant quelques longues minutes avant de relever la tête et de contempler son chef-d’œuvre. Gorog sourit. La muraille était percée d’un trou de la forme de sa tête. Gorog se préparait jovialement à finir son épreuve quand il entendit :
« Quoi!? Pas encore finit? »
Gorog ne prit même pas la peine de regarder Gortag et sauta littéralement vers le trou de la taille de sa tête et le mur céda bruyamment.
« Alors Gortag, qu’est-ce tu disais déjà? »
Pas de réponse. Gortag avait une fois de plus disparue sans que personne ne le voie.
« Où-ce que t’es!? Ah ce Gortag, il est plus furtif et vicieux que les freluquets! »
Les jeunes ogres racontaient au tyran Casse-Murailles la réussite de Gorog quand toute la tribu entendit le nouveau Cogneur hurler au loin :
« Gorog Fracasse-Murs!!!!!!!!!!! »

Il y avait un nouveau Cogneur dans la tribu des Casses-Murailles et cela inquiétait les buffles. Les Cogneurs sont très justement réputés pour être des brutes épaisses ne vous dévorant que les doigts s’ils sont de bonne humeur. Par contre Gorog, contrairement aux autres Cogneurs de la tribu, était ambitieux. Il supportait de moins en moins d’être sous les ordres du Tyran Boltag Casse-Murailles. Le domaine de celui-ci se trouvait à l’ouest des Châteaux des Cieux où les Montagnes des Larmes se font les plus hautes. Le territoire des Casses-Murailles était délimité par trois montagnes; la plus haute est une ancienne tour de guet des Titans Célestes, la seconde est un haut plateau où les troupeaux de mammouths servaient autrefois de nourriture aux anciens géants, finalement, la plus petite montagne est coupé en deux où passe un large chemin qui mène vers l’ouest puis vers le sud vers la route de la l’Ivoire. La tribu descendait de Bruto Ventretonerre qui fut le premier à entrer de force dans les forteresses des géants autrefois civilisés.

Boltag avait convié Gorog à sa table. Avant d’y aller, Gorog eut une courte entretient avec Gortag :
« T’es là toi, dit Gorog d’un ton menaçant.
-Eh toi, t’es près à devenir l’esclave du Tyran et d’faire s’qui t’dit pour qu’il te caresse, lui répondit Gortag moqueur.
-Eh! Si j’veut pas faire s’que Boltag m’dit d’faire, alors j’le f’rai pas!
-T’es qu’un gnoblar du Tyran et il t’a dit d’venir à sa table que pour te mordre l’oreille, ricana Gortag, tu vas devenir le p’tit-tit avorton au Tyran! »
Gorog hurla de rage avant d’étrangler à mort Gortag qui retomba inerte dans de la viande pourrit. Il s’en retourna vers le banquet mais se dit en chemin que se serait un gâchis de ne pas goûter un peu aux doigts et au nez de Gortag pendant qu’il en avait l’occasion. De retour sur les lieux du crime, le nouveau Cogneur constatât avec dégoût que le corps de Gortag avait disparu au grand dam de Gorog qui ne pourrait jamais goûter les doigts de l’ogre qu’il avait étranglé quelques minutes plus tôt. C’est ainsi que le Fracasse-Murs arriva au banquet en retard et affamé. Le tyran ne l’avait évidemment pas attendu et avait dévoré toute la nourriture sans prendre compte de Gorog. Celui-ci, en voyant la table sans viande imagina Boltag, dévorant sa nourriture comme un porc, avalant à grande bouchée la délicieuse viande de rhinox préparé avec soin par le désosseur et abattu par Dalrg, le chasseur de la tribu. Gorog s’assit de très mauvais poil à la place qu’un Ventre-Dur lui assigna. Des gnoblars vinrent nettoyer le Tyran avant que cet ogre obèse ne parle à son invité affamé.
« T’es en retard sale p’tit avorton impoli, t’es invité à ma table et t’ose arriver en retard. Si ch’rai pas gentil, j’t’aracherai les mains puis j’t’ai f’rai avaler! »
Gorog ne répondit pas.
« T’es mieux de pas m’décevoir dans ta mission, sinon j’te f’rai bouillir et tu s’ras le prochain repas qui aura à cet table.
-Quelle mission votre obésité, questionna Gorog avec retenue.
-Y faut que t’ailles aux sentinelles et que tu y attendes une caravane d’humain, y vont te donner des centaines de petits soleils d’or pour que tu les protèges avec des buffles, après, tu m’rapportes l’or, Pigé?
-Ouais j’vais l’faire »
Gorog quitta donc le banquet sans avoir rien avalé. Le premier buffle assé malchanceux pour croiser sa route reçut un coup de la lourde épée du Cogneur qui brisa net la plaque ventrale du pauvre ogre. Cela lui coupa le souffle et il ne pût se défendre quand Gorog sauta dent à son coup et le dévora tout cru. Quand Gorog Fracasse-Murs se remit de ses émotions, il alla préparer son équipement de guerre car demain, il partirait de la tribu et Gorog savait au fond de lui qu’il ne reviendrait pas de si tôt.

Le soleil venait de se lever, tentant timidement de trouver un chemin entre les hautes montagnes pour illuminer la vallée enneigée, le rayon se heurtant sur le cuir épais d’un vieux rhinox agonisant face aux féroces crocs de sable triomphant. En effet, le pauvre rhinox s’était replié mais avait du freiné alors qu’il rencontrait un cap infranchissable. Les félins aux canines surdimensionnés allaient avoir un repas copieux pour les sept prochains jours. C’était peut-être cet appétit qui les rendit trop insoucieux à cet instant, où était-ce peut-être les cris paniqué de leur proie piégé qui les avaient rendus sourds à tout autre bruit tel que les rires gras des ogres derrières qui n’avait pourtant aucune subtilité. Ironiquement, le premier croc de sable à apercevoir le danger fut le premier à tombé sous le d’une coup de massue cerclé de d’acier. Le reste de la meute, pas plus d’une douzaine, réalisa que trop tard qu’ils étaient devenu la proie d’un prédateur et que le repas qu’ils convoitaient allait probablement être en accompagnement d’un plat de brochettes de félidés qui avaient été trop insouciant. Les crocs de sable n’allaient pas vendre leur peau si aisément, ceux-ci se mirent en demi-cercle contre la falaise qui les coinçait à présent avec le rhinox qu’ils avaient blessé. Un rayon soleil rouge sang illumina la scène fétide quand le massacre commença.

Les buffles dévoraient bruyamment la viande qu’avaient ramenée des ogres que le cogneur avait envoyé à la chasse. Celle-ci avait été un franc succès, dix crocs de sable, un gros rhinox et deux buffles n’ayant pas été assez vifs pour esquiver une des ripostes des crocs de sable. La table du cogneur était la plus luxueuse, du moins, selon le critère ogre car cette même table n’était en faite qu’une grosse roche plate, ce luxe venait de la nourriture servit au gros ogre qui y trônait, de fins tendons de crocs de sable enroulés autour d’un vigoureux bacon de rhinox le tout, délicieusement mariné dans le sang où il flottait quelques morceaux du cerveau de la bête. Ce qu’enviait le plus les ogres autour étaient sans aucun doute l’énorme cœur du vieil animal. Évidemment, personne n’osait requérir ce gargantuesque organe vital. Un coup de massue de la part du nouveau Cogneur serait la prime du buffle assez inconscient pour tenter de toucher à son met fétiche. Ce même cogneur avait l’étrange habitude de discuter avec un point fixe ou d’étrangler l’air avec un regard meurtrier. Les buffles racontaient qu’il y avait un démon nommé Gortag que seul Gorog, le cogneur, pouvait voir et touché, mais les broyeurs et les mangeurs d’hommes disaient simplement qu’il se sentait seul. Ainsi, se grand ogre au crâne déformé tel une roche que l’on frappe à coup de marteau et au ventre large recouvert d’une grosse plaque ventrale d’acier cabossé qui était recouvert d’une série de dents de pierre grossièrement sculpté, sinistre représentation de leur dieu affamé, discutait. Ce ne sont pas des manières d’ogre que de discuter avant d’avoir finit sa viande, encore moins de parler à une personne invisible qui n’existait probablement même pas. Cependant, discuté avec une personne que l’on croyait avoir tuer mais qui n’a en faite jamais vécu est des plus inhabituel. Ainsi, Gorog se permettait d’interrompre son repas digne de l’Archityran Graissus Dent D’or. D’une voie tonitruante, Gorog crut s’adresser à Gortag et même si personne de réel ne l’écoutai dit :
« T’es mort! J’t’ai étranglé quand t’étais trop baveux! J’t’ai tué, j’me souvient, t’ai tombé dans un tas d’cadavres ou kek’chose comme sa.
- Ben tu m’as manqué parce que t’ai trop nul! Au moins, tu vas aller faire ta besogne comme tout les sales tis avortons du Tyran.
- J’va pas faire s’que dit le Tyran, j’vais manger les freluquets et aller vers où que l’soleil s’lève pour manger leur famille aux tis freluquets.
- Quoi!? J’ai pas bien attendu, j’ai crus comprendre que t’avais eu un bon plan!
- Heu… J’ai dit que j’vais me tapper une brochette de freluquet! Maintenant, s’t’assez fort pour k’t’entende!?
- Regarde derrière toi! Un aigle! "
Gorog se retourna avec énergie mais n'aperçu pas le rapace qu'il désirait ardemment voir. Se retournant vers Gortag, en faite vers l'endroit que Gortag avait été avant qu<il ne disparaisse, une fois de plus.

La tension montait dans les Sentinelles, même si les kislevites étaient reconnus dans tous les royaumes hommes comme étant des personnes à sang froid, les hommes du boyard Cradvök n’avaient l’expérience nécessaire pour vaincre ces orques noirs enragés. En effet, ils étaient dépassés en nombre, en armement, en équipement et en expérience du combat. Des gnoblars, des orques, des ogres, des nains du chaos, des cathayens, tous observaient la scène espérant voir suffisamment de sang couler pour en faire leur journée. Le chef des kislevites maudit les impériaux et les tiléens de ne jamais être là quand il le fallait et pris sa lourde hache forgée d’une main de maître, ou plutôt de la main d’un apprenti forgeron nain, Cradvök la serra fort entre ses doits et la leva à la hauteur de ses épaules, adoptant une posture défensive. À ses cotés, ses hommes faisaient un demi-cercle assez large pour empêcher les énormes peaux-vertes de les submerger. Au commandement du boyard, une vingtaine d’arcs furent bandés et à un second ordre, firent siffler un nombre autant important de flèches. La plupart ne firent qu’enrager davantage leurs cibles mais quelques orques noirs tombèrent percés de nombreux traits ayant parvenue à trouver des failles dans leurs armures lourdes. Les nombreux survivants, menés par une énormes créatures vertes maniant deux ki’koups d’une taille prodigieuse, foncèrent vers les humains habillés de fourrures, hurlant en l’honneur de Gork, (ou peut-être Mork). Des haches et des épées furent tirées de ceintures et de fourreaux et avant qu’aucun homme n’ait pensé à fuir, la mêlée commença.

Un orque noir décapita un des hommes de Kislev, faisant rire un nain chaotique avant qu’il ne commence à se joindre à la mélée en criant à la gloire d’Hashut. Attaquant tout autour de lui, il ne faisait pas de distinction entre hommes et peaux-vertes et exultait de cette orgie de massacre et de sang. Bientôt, le tas de cadavre qui entourait le petit être au haut casque à cornes encouragea des ogres à se joindre aux hostilités, traçant un sillon sanglant dans le flanc des peaux-vertes et des Kislevites .Le chef de ceux-ci avait déjà tué trois de ses ennemis et se débarrassa vite d’un quatrième. Celui qui prit la place de sa dernière victime n’était pas un orque, c’était une créature courtaude, au visage ridé, deux longues dents pointues sortaient de ses lèvres inférieurs et pointait vers sa moustache broussailleuse qui rejoignait sa barbe noir tressé et décoré de petits bracelets d’or, à présent recouverts de sang. Son armure était principalement noire mais des motifs dorés ornaient les épaulettes et les hanches. Sa tête était couronnée d’un haut casque pointu fait d’un alliage d’or massif et de plomb et deux cornes menaçantes pointaient vers Cradvök :
« Je suis Thumgor, dit le démoniaque, dit le nain du chaos d’une voix extrêmement agressive, tu me payes en or et je te débarrasse de tous ces orques, tu ne me payes pas et je te débarrasse la tête de ton corps! »
Cradvök regarda les corps d’hommes et d’orques noirs qui jonchaient le sol derrière son interlocutoire et se dit que s’il avait un moyen de survivre de cette bataille déséquilibrée, c’était bien en acceptant l’offre du petit humanoïde qui brandissait son énorme hache d’obsidienne à double tranchant avec impatience. Le kislevite accepta la proposition en sortant une bourse remplis d’argent de Kislev mais le nain déclina en disant :
« Ce n’ait pas comme sa que tu payera stupide humain! Tu verras… je vais te débarrasser de ces erreurs d’Hashut!
Sur ce, il fonça vers le cœur des peaux-vertes, où était leur gigantesque chef. Il se tailla un chemin sanglant vers celui-ci et avant même que l’orque n’ait accepté le duel proposé, il le décapita d’un seul revers. Toutes les créatures de la même engeance en furent stupéfaits et tournèrent les talons sans demander leurs restes, craignant de subir le même sort que leur meneur. Le carnage continuait cependant pour cause des ogres qui étaient sur le point d’exterminer les survivants de la bataille.
« On s’ramène tas d’crétins! Vous allez tuer ceux qui vont nous payer! Y faut toujours que j’vous explique tout! Cria Gorog en arrivant sur place, s’tu Thumgor le nabot à coté du freluquet?
-Ouais! Il nous a débarrassé du gros orque foncé et méchant, lui répondit le chef de son escorte, y a fait la besogne pour les freluquets là-bas et…
-Pourquoi alors vous les tuiez bande d’avortons qui sentent pas bon et qui sont bêtes comme leur plaque ventrale?!
-Heu…
-S’quoi qu’sa veut dire heu?!
-Je sais pas…
-Alors arretes d’essayer de me mélanger avec tes mots savants! Pourquoi vous avez attaqué les freluquets? Ils vont nous payer pour qu’on les protège!
-C’est l’nabot de Zharrduk, il a commencé à tout tuer et y’allait plus rien nous rester!
-Vous aviez qu’à vous attaquez aux orques… »
Soudain, une personne derrière lui lui dit :
« Ils sont trop stupides tes hommes punies les!
-Gortag?
-Ouais c’est moi le génie!
-T’a raison Gortag! J’suis un génie et j’doit punir les gars.
-Tues-en un pour donner l’exemple!
-Non… j’ai bien pire!
-TOUT LE MONDE EST PRIVÉ DE DESSERT JUSQU’À NOUVEL ORDRE!

J'aimerais que l'on me réponde avant de poster la suite
Parce que là sa fait plus d'une semaine que j'ai posté mon texte et toujours pas de réponses...

Je pense que tu n'as pas eu de réponses car ton texte est assez décourageant. Tu devrais sauter plus de lignes, car l'énorme bloc de texte que tu as posté n'est pas très engageant. Essaie de l'aérer.

Pour l'instant je trouve le texte assez rapide, ça manque un peu de détails et de descriptions. Le passage sur le combat est très confus. On a du mal à saisir ce qu'il se passe.

Citation :

Des gnoblars, des orques, des ogres, des nains du chaos, des cathayens, tous observaient la scène espérant voir suffisamment de sang couler pour en faire leur journée. Le chef des kislevites maudit les impériaux et les tiléens

Là par exemple, on ne comprend pas vraiment, tu fais mention de huit peuples différents ! Et plus tard, le nain du chaos met en fite les orques noirs qui sont pourtant ses alliés.

L'histoire de l'ogre fou est assez sympa en tout cas !

Nains du Chaos alliés aux orques noirs
Les orques noirs ont été créé par les nains du chaos certe, mais ils se sont rebeller et ont faillis détruire Zharr Naggrund!
Les orques noirs ne servent que de mercenaires aux nains du chaos et ces derniers font la guerre à toutes les sortes de peaux-vertes (sauf les hobgob!)
Pour ce qui est des 8 peuples, j'imagine les sentinelles comme étant une place où presque tous les peuples orientales vont régulièrement pour le commerce d'esclave, de rhinox, etc...
Les kislevites, les tiléens et les impériaux font partis d'une caravane pour faire route vers cathay.
Merci pour ta réponse et tes conseils.

Amicalement, Gorog