Le Forum des Gueulards
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 Campement Aux passage des pas égarés

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Mattkragh
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Mattkragh


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MessageSujet: Campement Aux passage des pas égarés   Campement Aux passage des pas égarés Icon_minitimeMar 26 Juin 2007 - 12:42

Mon premier récit Warhammer (soyez indulgent^^)

Campement au passage des pas égarés


Les instructions étaient claires, le capitaine Warltheg et sa patrouille devait passer d’une ligne la plus droite possible vers l’Est et dans la mesure du réalisable, suivre les chemins et les routes en ne s’accordant que de rares pauses, car ils devaient faire vite : Le rendez-vous était fixé à dans cinq jours et la région n’était pas sans périls, ce qui avait pour avantage de faire taire les plaintes du régiment. Pour preuve, personne ne rechigna, lorsque l’on ordonna une marche forcée au Détroit des Croqueurs-de-têtes. Tous les soldats en étaient sortis indemnes et chacun pria le saint Sigmar pour le rester car d’autres abominations les attendaient.
En effet, comme le vieux pèlerin du dernier village traversé se plaisait à faire entendre ; maintes créatures hérétiques rien que par leur souffle (et encore, toutes ne respiraient pas à proprement parler, selon ses dires) erraient en ces terres.
A la taverne le capitaine avait entendu des paroles pour le moins farfelues. Les consommateurs parlaient de monstres nocturnes blasphématoires vivant dans les grottes, les cavernes, et les tunnels cachés, dans les montagnes à l’Est du village, qui capturaient les habitants. Certains parlaient de misérables bêtes à fourrure tuant la nuit, empoisonnant les puits et autres poins d’eau, qui mangeaient des pierres magique et qui découpaient les hommes pour les fondrent en monstres à leurs images ou simplement les dévorer. D’autres voulaient croire qu’il s’agissait d’êtres à l’air desséché dotés de grandes griffes qui aspiraient la vitalité des hommes et qui étaient la cause de la venue de pilleurs de tombes.
On relata alors, plusieurs anecdotes étranges des années passées : Des troupeaux privés de sang, des disparitions d’animaux, de villageois, et notamment d’enfants, une famille de fermier tous retrouvés mort on ne sais par quel maléfice, avec des cheveux blancs –même les enfants- et les yeux exorbités, un prêtre devenu fou après avoir été confronté à des spectres, des souris grosses comme des chiens, des cercueils exhumés couverts de griffures, et ne contenant que quelques os rognés ou bien ouvert, semblerait il ,de l’intérieur bien que nuls ressuscités ne s'eussent présentés. Un berger affirma avoir vu des loups aux yeux de braises et pourvus de dents deux fois supérieures à la normale, dévorer ses brebis, tandis qu’un vieil homme qui avait déjà fort bien bu, garanti -à l’hilarité générale- avoir croisé quelques hivers plus tôt des loups à tête de rongeur et soutint d’une voix pâteuse mais en haussant le torse qu’ils les avaient courageusement chassés – une chose au moins était certaine, cette partie là était fausse. Lorsque le nombre moyen de pintes par personne dépassa la dizaine et que la discussion porta sur l’existence de dragons à cents têtes et de femmes oiseaux, Warltheg jugea bon de reprendre la route vers l’Est.

Le chemin de terre qu’ils avaient suivi toute la journée depuis le village, les conduirent à un boyau large de plus de vingt pas, séparant deux cols assez hauts appelé : Passage des pas égarés. Il se nommait ainsi, à cause de la disparition de randonneurs, marchants, pèlerins ou tous autres voyageurs s’y étant engager. Tout ce que l’on sait, c‘est qu’aucun n’est revenu au village, peut-être certains on préférés rester de l’autre coté, mais sûrement pas les villageois partis pour des raisons familiales ou commerciale laissant derrière eux maison,terre,femme et enfants.
Le passage se séparait de temps à autres en de petits chemins qui pour un passant peu avertit conduisaient à une mort certaine. Heureusement pour eux ils n’eurent pas à passer par ces couloirs car la route, mis à part quelques intersections, était plutôt rectiligne. Elle les conduirent à un élargissement inattendu : un spacieux plateau parsemé d’arbres morts et d’une demi-douzaine de gros rochets, entouré de gravats. Le centre était dégagé et on ne pouvait y passer que par deux ouvertures.

L’entrée Est était semblable a celle d’où ils venaient sauf en un point : sa suite tournait plein Nord ! Il y avait bien une mince trouée allant légèrement au sud-est mais il devraient la traverser un à un vu son épaisseur : la situation rêvé pour un piège.
L’endroit n’était pas des plus rassurants, mais la nuit tombait à présent et les hommes fatiguaient. Warltheg était en plein dilemme : Bien des chose avait été imprévu, le couard cartomancien qui avait tracé le plan s’était contenté d’à priori ! Le passage –devrais-je dire le dédale ? - était visiblement plus long et plus vaste que décrit. Aurais-je du prendre l’autre branche du Y ? J’avais tant espéré en être sortit avant que le soleil ne se couche. Pensa-t-il.
Que faire ? Traverser de nuit ou camper ici ? A en croire les villageois les bêtes sortait le soir, et le lieu bien que quasi-désert était propice a l’embuscade.
La fatigue des hommes eut raison de lui, et il donna l’ordre de planter les tentes. Pour la suite du trajet il aviserait demain. Avec ce vaste terrain ils purent monter toutes les tentes. Chacune comportait trois hommes, sauf pour Warltheg qui campait seul. Un roulement de quatre sentinelles fut mis en place (deux pour chaque entrée) chacune correctement armé. A son étonnement aucune brise ni aucun courant d’air ne se fit sentir et nul brouillard ne se montra, si une lune entière se présentait cette nuit ils seraient en sécurité.
Les craintes de Warltheg furent justifiées car c’est une nuit sans lune qui tomba d’un ciel dépourvu d’étoiles. Au campement le moral était bas et nul n’avait grandement faim, de plus, c’est une viande froide qui fut servi car on se refusait à allumer un feu de camp de peur d’attirer l’attention.

Ulrich, Wilfried, et Sigmund trois compagnons d’armes avaient terminé de dîner et Ulrich mis son armure, son chapeau, son épée dans son fourreau et saisi sa lanterne : Ce soir, il devait répondre au poste de sentinelle pour le premier tour de garde. Il souhaita une agréable nuit à ses amis en promettant de les réveiller dès l’heure de leur ronde arrivée. Malgré la peur qui les tenaillait, ils parvinrent à s’endormir pour peut être ne jamais se réveiller.
Lorsqu’il sorti au dehors, Ulrich fut surprit de ne voir qu’a cinq ou six pas. Au-delà il n’y avait que ténèbres. Par ailleurs il aperçut à sa gauche un visage blafard, éclairé par une lampe identique à la sienne.
La sentinelle Nord n’avait pas l’air rassuré mais il ne l’était pas moins.
Il se passa un long moment avant qu’Ulrich ne commence à somnoler. Pour éviter que le sommeil ne l’emporte sur la peur, il décida de marcher un peu plus loin. Il remarqua que la sentinelle Nord avait fait de même, néanmoins son visage avait changé d’expression. Il était possible qu’elle ait perçu quelque chose. Ulrich ne la quitta pas des yeux mais fut rassuré lorsqu’elle regagna le camp. Il jeta tout de même un dernier coup d’œil à l’Est où ils s’étaient tous deux dirigés, puis il tourna les talons en direction du camp.
Soudain, la sentinelle Nord poussa un hurlement :
-ALERTE ! ALERTE ! UNE ATAA…
Elle n’eut jamais l’occasion de terminer sa phrase car une large ouverture sanguinolente était apparu à sa gorge, et son corps effondra sur le sol en un bruit mat. Tout s’était passé en quelque courtes secondes : la sentinelle avait saisit un bruit vers le Nord, s’était déplacé dans cette direction, mais ne voyant personne, croyant avoir mal entendu, retourna vers le camp, où elle se sentait en sécurité, puis, –une fois revenu au campement- s’était retournée après avoir entendu un second bruit, avait vu le chef ennemi qui avait voulu contourner la sentinelle afin d’assassiner le capitaine, suivit de ses sbires qui auraient égorgé sans pitié le reste des dormeurs, mais la sentinelle avait sonné l’alerte malgré que l’ennemi lui ai tranché le cou à l’aide d’une de ses deux dagues imprégné d’un poison vert.
Ulrich observa avec attention le chef ennemi et n’en croyait pas ses yeux : il s’agissait d’un rongeur bipède vêtu d’une cape noire, d’une sorte d’aube et d’une ceinture. Il savait qu’il attirerait l’attention des rats –car il s’agissait bien de rats- avec sa lanterne il courut vers le camp ou ses camarades s’armaient et sortaient des tentes, et il se savait suivi. Arrivé au camp il entendit Warltheg crier :
-Prenez les armes et vendez cher vos vies !
Il se trouva face a Wilfried, et Sigmund chacun armé d’une épée. A l’instar des autres soldats tirés de leur lit ils ne portaient pas d’armure.
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Mattkragh
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MessageSujet: Re: Campement Aux passage des pas égarés   Campement Aux passage des pas égarés Icon_minitimeMar 26 Juin 2007 - 12:44

Le capitaine qui ne dormait que d’un œil, s’était réveillé en sursaut lorsque l’on cria à quelque pas de l’entrée de sa tente. Warltheg savait qu’il était dangereux de ne pas porter d’armure lui-même serait sortit sans protection s’il ne s ‘était pas endormi sur la carte sans se changer. Maintenant qu’il était dehors, il savait que les adversaires non plus n’arboraient pas d’armure mais eux y étaient habitués. Les combattants adverses étaient plus rapides et mieux armés, de plus les hommes s’étaient à peine reposés et étaient à demi réveillé. Les soldats de l’empire avaient tous un mouvement limité par le halo de lumière des lanternes fixée aux tentes à part les sentinelles.
Après avoir repoussé les pans de sa tente Warltheg chercha d’un œil vif dans quelle direction était le garde en danger. A sa droite il vit une lumière se balancer et se dirigeant vers le camp. Mais un regard panoramique lui appris que se n’était pas Ulrich qui avait sonné l’alerte mais l’homme à terre dont la lampe couchée au sol éclairait son cadavre couvert de sang rouge et vert. Il compris vite à qui ils avaient à faire. Une paire de rats fonça vers lui mais deux vaillants soldats s’interposèrent.
Le chef assassin voulait lui faire rendre gorge et bien qu’il se batte face à face! Une fois celui-ci occis de ses mains le reste des créatures seront moins défiantes. Toutes fois un problème persistait : Où était-il ?

Les hommes se battaient plutôt bien vu les circonstances. Les sentinelles du coté Ouest avaient chargé le plus impressionnent des rats et réussirent à lui meurtrir le flanc droit d’un coup de lame tandis que d’autres tenaient en respect leurs ennemis respectifs.
Pendant ce temps Ulrich et ses deux compagnons étaient confrontés à un rat des plus agiles. Tous trois frappaient aussi promptement et précisément qu’ils le pouvaient mais la bête esquivait le moindre coup ce qui lui empêchait de porter des coups conséquents. Le rat se baissa, sauta évitant ainsi deux coups d’épées et répliqua d’une frappe verticale qui coupa Wilfrid au nez. Il esquiva six coups de plus avant de contre-attaquer et de sectionner la plume du chapeau d’Ulrich.
L’ ennemi semblait intouchable mais il ne tuait pas pour autant. C’est alors que le rat tenta de transpercer Ulrich, sa lame glissa sur l’armure du soldat en l’emportant dans son geste ce qui donna l’occasion et le temps à Sigmund de planter son couteau dans la cervelle du rongeur à travers l’œil.

Le reste des guerriers de l’empire allait mal, on entendait leurs lanternes se briser en même temps que leurs os. Un soldat se fit projeter au sol par les pattes inférieures d’un rat en plein saut qui une fois pieds à terre éventra sa victime. L’homme le plus proche voulant venger cette dernière, abattis son arme, fut paré, la bête saisit la deuxième arme à sa ceinture et la lui enfonça en plein cœur.
Dans ténèbres aucun des deux serviteurs de Sigmar ne pouvait discerner d’ennemis. Si l’un des deux se faisait attaquer, l’autre connaîtrait la position de l’attaquant et défendrait son compagnon. Mais nul ne venait, il était plus sage de s’approcher des lumières, ce qu’ils firent. Brusquement l’un des hommes fut frappé à la nuque. Personne ne pu riposter car les cervicales avait été brisé par le silex d’une fronde. La proie restante vit le brillant d’une lame vers qui il assainit une frappe aveugle et entailla par chance la patte du monstre, ce qui lui donnait une opportunité de fuir. Il courut donc vers les espaces éclairés. Le rat bondit sur lui par derrière et le plaqua au sol une patte sur sa tête l’autre sur son épaule, les pieds sur son dos et les


incisives profondément enfoncées dans son cou. Près d’Ulrich un rat doté de griffes de fer fixées aux poignés traça quatre ouvertures sur le ventre d’un homme de l’empire alors qu’un autre armé de deux poignards, désarma un soldat, croisa ses lames en ciseaux sur son coup, et enfin le décapita, instaurant la peur. Warltheg avait sa foi avec lui. Il ne craignait pas les opposants de Sigmar car son courroux guidait les armes de ses serviteurs. Sigmar lui donnera la force de tous les vaincre s’il le faut. Ses défenseurs avaient occis leur coureur nocturne respectif et s’attaquaient dès lors à deux nouveaux nuisibles.
- Où est-tu créature de l’ombre ? Viens te battre face à moi si tu es un temps soi peu digne. Murmura le capitaine à l’intention du maître des maléfiques Lors de ces paroles, plusieurs pas derrière lui, l’impressionnant assassin fut pris de rage. Sa blessure au coté ne fit aucunement obstacle quand il se défit des sentinelles restantes malgré les armures de celles-ci, une fois glissé entre elles, en leurs plantant ses lames empoisonnées entre les côtes. Allègre de ces récentes victimes il les laissa se noyer dans leur sang pour s’attaquer à sa cible principale. Un meurtre dans le feutré s’imposait or le capitaine contrariait ses plans en se dirigeant vers lui.
Warltheg se retourna. Une épaisse fumée se dégageait dont il ne savait quoi. Il se détourna de son objectif premier pour aller dans une direction opposée. L’émanation n’avait pas un semblant fort nocif mais il devait vérifier. Ce mauvais pressentiment mal interprété lui sera fatal car à peine avait-il fait deux pas qu’un shuriken suintant de poison traversa sa cuirasse pour s’implanter dans sa colonne vertébrale.
Tout tournait au tour de Warltheg il ne sentit même pas le choc du sol en s’écroulant.

La mort du capitaine était un coup dur et plus d’un soldat préféra fuir sans grand espoir de survie toute fois et tous furent rattrapés et tués. Ulrich, Wilfried, et Sigmund avait repris leur souffle et n’envisageaient même pas de s’enfuir. Même sans le capitaine, il trouverait la force d’affronter leurs adversaires. Réunit autour de la lampe d’Ulrich ils tendaient l’oreille. Sigmund aperçut une silhouette.
-Donne-moi la lampe. Murmura-t-il.
-Pourquoi ?
-Donne-moi la lampe. Répéta-t-il.
Il s’approcha accompagné des deux autres de la silhouette qui de près n’était pas du tout de taille humaine.
Il s’agissait en fait d’un des gros rochets qui bordait le plateau. Tant qu’ils étaient là il vérifièrent les lieux
Il n’y trouvèrent rien ni personne. Mais en regardant vers le camp ils n’y virent aucune lumière. Tout les autres étaient morts.
-Il vaudrait mieux aller vers le campement et rallumer un feu. Dit à voix basse Wilfrid.
Ils s’arrêtèrent à mi-chemins à l’entente de voix inhumaines.
-Pas bouger… Toi, Par-là bas... Allez vérifier… non pas ceux-là.
La voix était proche et se n’était pas rassurant de plus ils avaient l’impression de se faire encercler.
Un silence angoissant s’installa. Ils n’osaient plus avancer.
On ouït le sifflement d’un projectile, un faible heurt et l’impact de la lanterne et du sol. Se qui poussa Ulrich et Wilfrid à regarder Sigmund. Ils se demandèrent pourquoi Sigmund avait lâché la lanterne avant de découvrir un demi-disque bordé de lames enduites d’un liquide émeraude sortant de son torse au milieu de son cœur.
Horrifiés, ils désirèrent le venger mais ne savait où se diriger. Ulrich se baissa la main tendue pour ramasser la lampe mais ses doigts ne purent saisir la poignée car un nouveau shuriken empoisonné sectionna son avant-bras. Dans un hurlement il s’affala sur le sol en serrant son moignon. La douleur le torturait jusqu’au cœur. Le poison faisait son effet. Seul Wilfrid subsistait, et Ulrich voyait en contre-plonger son visage désespéré. L’instant qui suivi, il le vit chuter et entre deux hurlements -le deuxième fut plus fort- à travers ses larmes de douleur, il découvrit un ultime présent envenimé, enfoncé dans le crâne de son compagnon de telle manière que le disque avait cassé l’arête du nez et crevé les deux yeux.
Ulrich était dans une horreur totale. Il allait mourir et ses amis l’étaient déjà. C’est sur la vision du cadavre de son ami et sur celle d’un rat capé, qu’Ulrich quitta se monde, avec, finalement, un certain soulagement. Il ne voulait plus avoir ces visions, ces douleurs et rejoindre Sigmar et le reste des héros de son peuple. L’assassin et ses sbires se réunir autour du corps d’Ulrich.
-Ramassez tout çà ! Donnez les choses humaines au maitre-mutateur. Vite-vite, choses mortes par ici.
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